Résultats du 31 mars

Débutants jaunes : Ce match contre Génicourt s’annonçait compliqué, jusqu’à la dernière minute, le choix du lieu restait inscertain, la pluie menaçait et surtout, Génincourt, premier du classement inspirait respecte et crainte chez nos "or et azur".
Le match a démarré avec du retard et à la 8e minute, Amine ouvre le score de façon peu convaincante, mais suffisante pour regonfler le moral des troupes. Cinq minutes après, Jimmy, inspiré, tente sa chance, le pallon passe la ligne sacrée : 2-0.
La première période s’achève sur un superbe arrêt de Renan, notre portier. La seconde période vient à peinde de commencer quand Thomas F lance amine en profondeur qui concrétise du plat du pied : 3-0. Et "l’esprit se libère à nouveau de la matière", les or et azur survoltés pressent les verts de Génicourt, qui ont baissé les bras, défaitistes.
Amine rate une occasion en or, Jimmy va conclure le score en inscrivant son deuxième but, et quatrième du match pour Courdimanche. Score final : 4-0. Sursaut d’orgueil pour nos ors et azur qui ont retrouvé leur superbe du milieu de saison. Les sourires sont revenus sur le visage de nos joueurs.
_ Bernard Garcia

Débutants bleus : Perdu 2-1

Poussins jaunes : défaite 5-0 contre Génicourt

Poussins bleus : perdu 2-0

Benjamins bleus : Score non communiqué (cliquez ici pour me l’indiquer)

Benjamins orange : Perdu 2 -0

18 ans : Match amical contre l’équipe 2 du PSG, qui évolue en 1ere division régionale : un sacré morceau pour notre petite équipe départementale. Mais qui ne tente rien n’a rien, et se frotter à une équipe de haut niveau permet de motiver les troupes. Curieusement, ils étaient quasiment tous la, même les stars qui gardent leur grand mère ou leur petite soeur le dimanche, ou qui ont trop fait la fête la veille. Bref, un effectif motivé pour affronter les bleus et rouges du PSG.
Première période, on s’observe, quelques tentatives d’Alexis Graslin se heurtent à une défense infranchissable : manque de vitesse de pointe... Peut etre pas assez d’entrainement ? L’adversaire tente lui aussi quelques percées, et enfonce les défenses de Courdimanche ... manque d’organisation, mais fort heureusement, Bandiougou est infranchissable, un vrai mur, les deux tentatives avortent dans ses mains.
Deuxième période, on prend confiance, les joueurs sont échauffés, ils sentent que la victoire est possible, et ont la ferme intention de gagner 12e minute, Nicolas Rolley récupère une passe du libéro et se lance en flèche vers les buts adverses... Il esquive les deux défenseurs lancés à sa poursuite et tire de 20 m. Un tir cadré qui trompe le gardien du PSG. Philippe exulte, le dirigeant du PSG manque d’avaler sa casquette, il rappelle ses joueurs à l’ordre et attend une contre attaque foudroyante pour égaliser.
20e minute, Fabien Pichon stoppe une attaque sur l’aile. Ahmed Dourmouk récupère et relance. Soufiane se lance à l’attaque : Hors jeu. Nicolas Badiola entre en piste, il écarte trois attaques adverses dont une d’un tacle sur deux metres... Les frères Devin sont en forme aujourd’hui, bien dormi peut etre :-) Jérémy passe à Morgan qui passe ensuite à Niolas, qui tente de franchir la défenses. Peine perdue, pas asseez rapide... les bleus et rouges sont de vrais zebres, ils courent plus vite, et plus longtemps. Il perdra la balle à 25m des filets sans avoir pu tirer.
25e minute, Abdulaye se fache un peu : un joueur adverse l’a bousculé pour récuperer le ballon. L’arbitre le met en garde.
A la 43e minute, c’est Elhadi qui sauve la mise en bottant en touche une balle qui devenait franchement dangereuse.
Finalement le sifflet qui annonce la fin du match libère la pression qui étreint les jaunes : enfin c’est terminé. Accolades, tour de terrain, hola... rien n’est trop fort pour exprimer la joie qu’ils ressentent. Christian et Philippe, les dirigeants, ont peine à y croire, mais c’est pourtant vrai : ils l’ont fait ! 1-0, c’est pas un score fleuve, mais qiand meme, c’est le PSG et c’est un niveau bien plus élevé... Ils se sont donnés à donf les jaunes, et ils ont eu leur victoire. La preuve qu’ils en étaient bien capables. Dommage qu’on ait été le premier avril, on y aurait presque cru...